Au début, quand la peinture imitait la nature, ce n’était pas de l’art, cela ne l’est devenu qu’à partir du moment où, à la place d’un visage à la facture bien lisse, est apparue la première touche qui donne l’illusion de la nature [...].
Alexandre Rodtchenko, Écrits complets sur l’art, l’architecture et la révolution, Paris, Philippe Sers, 1988, p.54.
Qu’est-ce qui justifie l’a priori de la différence entre la photographie d’art et la photographie en général ? |